mardi 24 juin 2014

Les biens d'agir

1. Si vous agissez, vous trouverez ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas.
2. Si vous n'agissez pas, vous ne saurez jamais ce qui est possible et ce qui ne l'est pas. Vous pouvez penser que vous voulez, mais vous ne serez pas en mesure de pointer vers quelque chose de concret pour prouver que vous avez raison.
3. Si vous agissez, vous découvrirez si ce que vous vouliez ou non ... et poursuivre vos explorations  quelle que soit la nouvelle action.
4. Agir conduit à une réaction du marché, ce qui peut  vous orienter dans une autre direction. (Vous vouliez ouvrir un restaurant et vous rendre compte qu’un tas de gens veulent apprendre à cuisiner de nouvelles recettes pour préparer leurs repas de la semaine avec un chef cuisinier)
5. Comme vous agissez, vous rencontrez des personnes, des opportunités se créent  
6. Comme vous agissez, vous pouvez trouver des façons de faire les choses plus vite, moins chères, et mieux
7. Si vous agissez, vous ne serez pas obligé de passer le reste de votre vie à vous demander ce qui serait arrivé si vous aviez fait ce que vous n’avez pas osé faire.
8. Si tout ce que vous savez faire est de penser, vous pouvez finir par être moins intéressant en tant que personne. A côté de qui préfériez-vous être assis dans un train ou un avion, quelqu'un qui vous parle de ses initiatives  (même s’il s’est raté) ou quelqu'un qui ne fait qu’énoncer des principes ?
9. Si tout ce que vous faites est de réfléchir, vous pouvez gagner des tonnes de connaissances théoriques, mais vous devenez comme dans la fable celui qui connaît le prix de tout mais la valeur de rien. Si vous agissez, vous savez ce qui est réel.
10. L’action conduit toujours à des résultats, des faits sur lesquels vous pouvez prendre une décision. Vous agissez donc sur quelque chose qui change, et en observant la réaction, vous acquerrez des connaissances. La pensée ne conduit pas à la preuve. Il mène juste à un plus de réflexion.

Bonne action

Carole Ruvira


vendredi 20 juin 2014

Manager la génération Y

Les caractéristiques de la génération Y : L'ouverture, le partage, la sincérité

La génération Y étale son savoir et ses états d’âmes, parfois avec beaucoup de naïveté et sans penser que d’autres peuvent avoir des pensées mal intentionnées à leur égard.
Ces jeunes, fréquemment, partagent leurs savoir-faire, partagent leurs intérêts sur tous les sujets personnels ou professionnels,
Ils ont un réseau qui leur permet de se soutenir les uns les autres, et aussi de se lancer dans des actions communes pour demander de l’aide ou soutenir une cause ou une personne.
Beaucoup de ces jeunes font des fautes d'orthographes, et ils ont perdu le vouvoiement, quand le courant passe entre eux, ils se tutoient très rapidement et même tout de suite, ainsi ils montrent qu’ils ne sont pas « hypocrites »,


Le management participatif est le mode de management qui leur convient le mieux. Ils sont consultés et ils savent que c’est leur chef qui prend les décisions
Ils aiment apporter leurs idées, leurs initiatives, et pour peu qu’elles soient retenues, leur charge de travail ne les rebute plus. Ils ont le goût du challenge et le plaisir dans le travail.
La génération Y  travaille plus pour s’épanouir dans le travail et hors du travail, que pour cotiser à une retraite qui s’éloigne de plus en plus au sens qu’ils donnent à la vie.
Il est plus facile de leur donner une mission qu’un ordre, un objectif qu’une tâche. Encore faut-il que le poste le permette.
 Sinon, il faut leur expliquer dès l’entretien d’embauche les limites de leurs initiatives.


Carole Ruvira


mardi 10 juin 2014

Les 5 regrets des mourants


Bronnie Ware n’est pas une infirmière comme les autres. Comme les  autres, elle travaille dans un hôpital depuis plusieurs années pour venir en aide aux malades. Mais ce qui différencie Bronnie Ware de ses collègues, c’est qu‘elle a accompagné des patients lors des 12 dernières semaines de leur vie. Pendant de longs mois, elle a minutieusement relevé dans un blog les regrets qu’ils éprouvaient à l’approche de la mort. "Inspiration and Chai" a ensuite était posé sur le papier pour en faire un livre, qu’elle a sobrement intitulé "Le top 5 des regrets du mourant".

Bronnie Ware y évoque notamment l’exceptionnelle clairvoyance dont ont fait preuve ses patients avant de mourir, et comment nous pourrions apprendre de leur sagesse. Voici les 5 regrets les plus cités au cours des nombreuses années qu’elle a passées à leurs côtés.

1 - J’aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je le voulais, et non pas comme les autres l'entendaient

"C’était le regret qu’ils avaient le plus en commun. Quand les gens prennent conscience que leur vie est presque terminée et regardent derrière eux, il leur est plus facile de voir combien de rêves n’ont pas été réalisés. La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et vont mourir en sachant que c’est une conséquence directe des choix qu’ils ont fait, ou pas. La santé apporte une liberté dont très peu de gens se rendent compte, jusqu’à ce qu’ils ne l’aient plus".

2 - J’aurais aimé ne pas travailler aussi dur


"Ce souhait est venu de tous les hommes que j’ai soignés. Ils n’ont pas assez vu leurs enfants grandir et n’ont pas passé suffisamment de temps avec leur femme. Les femmes ont également exprimé ce regret, mais comme la plupart étaient issues d’une génération plus âgée, nombreuses d’entre elles n’ont pas été "soutien de famille". Tous les hommes regrettent d’avoir passé autant de temps dans leur vie à travailler".

3 - J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments

"Beaucoup de gens refoulent leurs sentiments afin de maintenir l’entente et la paix avec les autres. En conséquence, ils se sont installés dans une existence médiocre et n’ont jamais pu devenir ce qu’ils auraient aimé être. Beaucoup de maladies sont développées ou entretenues par l’amertume qui habite les patients".

4 - J’aurais aimé rester en contact avec mes amis

"Souvent, ils se rendent compte trop tard qu’ils auraient pu profiter du soutien de leurs vieux amis dans les dernières semaines avant leur mort, mais il n’est jamais facile de les retrouver. Les gens sont tellement absorbés par leur propre vie qu’ils mettent de côté au fil des années des amitiés précieuses. Beaucoup regrettent de ne pas avoir fait assez d’effort et passé assez de temps pour les préserver. Les patients pensent souvent à leurs amis lorsqu’ils sont en train de mourir".

5 - J’aurais aimé chercher à être plus heureux

"C’est un regret surprenant qu’ils avaient presque tous en commun. Beaucoup d’entre eux ne s’étaient pas rendus compte que le bonheur peut-être un choix. Ils sont restés coincés dans de vieux schémas et habitudes. Le soi-disant "confort" dans lequel ils étaient installés les a empêchés d’envisager les choses autrement, tétanisés dans leurs vies par la peur du changement".


Passez à l'action, si vous ne voulez pas faire partir des 95 % personnes qui ont des regrets avant de mourir.
Vous commencez par quoi ?

Adieu les regrets. 

Carole Ruvira