mardi 25 novembre 2014

Vos mauvaises habitudes

Si vous souhaitez que votre vie prenne une nouvelle direction, il faut d’abord vous allégez de vos mauvaises habitudes qui vous lestent depuis trop longtemps.
C’est important de trouver votre objectif de vie si motivant qu’il vaincra vos besoins de gratification immédiate. Il est nécessaire d’avoir un plan d’action.

1. Identifiez vos déclencheurs

Observez votre liste de mauvaises habitudes. Identifiez ce qui les déclenche à l’aide des
4 Coupables : Le « qui », le « quoi », le « où », le « quand « 

2. Faites le grand ménage

Eliminez tout trace de ce que vous voulez changer. Si vous voulez arrêter de grignoter, stop à l’achat de biscuit, …


3.Faites l’échange

Comment pourriez–vous faire en sorte qu’elles ne nuisent plus autant ?
Pouvez-vous les remplacer par des habitudes plus saines, ou vous débarrasser pour de bon ?

4.Procédez par paliers

Il est plus efficace de progresser par paliers, pour vous défaire des habitudes, les plus ancrées.

5. Ou allez-y la tête la première

Certaines personnes ont plus de facilités à changer leur mode de vie si elles doivent changer plusieurs mauvaises habitudes en même temps

Demandez- vous dans quels domaines, puis-je procéder par paliers tout en sachant que j’y parviendrai ? et dans quels domaines ai-je besoin d’un changement radical.


Carole Ruvira 

samedi 8 novembre 2014

Les 5 caractéristiques d'un leader

Il est « source d’inspiration » et explique pourquoi il a l’envie de faire les choses
Il est  sécurisant pour le groupe et contribuent à développer la confiance et la collaboration
Il cherche à prendre les meilleures décisions possibles et
responsabilise chacun
Il inspire confiance car il fait passer les intérêts du groupe avant les leurs
Il participe à l’action avec cette capacité à garder de la hauteur sur les évènements

La différence entre un manager et un leader :

La tendance naturelle d’un manager est souvent de s’engouffrer dans le contrôle,  la décision unilatérale à la recherche de l’idée géniale. Il anime le comment et le quand du résultat. Il est dans le présent. Le « qui » apparaît plus comme un moyen pour mettre en œuvre l’action vite et obtenir le résultat. Ce fonctionnement réduit le potentiel du groupe.

Ce que sait faire un leader naturellement: Pour que chacun prenne ses responsabilités, cela nécessite de faire confiance et d’accepter les échecs potentiels tout en faisant en sorte que l’ensemble soit le plus harmonieux.

Son rôle : Le rôle du leader est de coordonner et arbitrer les initiatives individuelles et d’amener chacun à s’engager et prendre les meilleures décisions possibles 


Le leadership, ce n’est pas un grade, ni une fonction, ni une place dans un organigramme. C’est un CHOIX.


 IL est possible de devenir un leader en modélisant un leader

Carole Ruvira

mercredi 29 octobre 2014

Quel risque prend vos prospects ?

Toute décision, quelle qu'elle soit, vous expose à un risque.
Tout prospect qui souhaite faire un achat ou utiliser un service prend un risque.
Le risque de se tromper, de ne pas être satisfait, d’avoir des conséquences désagréables.

Toute décision que nous prenons, nous cherchons à diminue le facteur risque.

Vous rencontrez souvent des clients qui n’arrivent pas à se décider. Vous comprenez ce qui  se passe dans la tête de vos clients.

Les 3 éléments les plus importants qu’un client prend en considération pour estimer son risque :

1.   La confiance : Cette confiance se gagne par l'honnêteté, l'intégrité, l'ouverture d'esprit et la réputation du vendeur et de l'entreprise.

2. Les préoccupations/besoins :. Plus vous montrez à vos clients que vous répondrez à ses besoins spécifiques réels à travers votre offre, plus son niveau de risque baissera.

3. Le prix : plus le prix d'un produit ou d'un service est élevé, plus le risque peut être perçu comme important par le client. Il arrive souvent qu'un vendeur baisse son prix pour acquérir un nouveau client parce qu'il n'a pas été capable de diminuer suffisamment le facteur de risque de son offre générale pour ce client.


Transformer le risque en chance.

Carole Ruvira


jeudi 9 octobre 2014

Management et Rugby

Leçons de management à travers des mots clés du rugby. 

1.   Douleur et solidarité.
Sur le terrain, il faut aller au charbon, se faire violence pour récupérer le ballon ovale, le dégager et marquer. C'est pareil en entreprise. On est parfois amené à souffrir sur un dossier, à surmonter une réelle difficulté pour boucler un projet. Mais si on fait corps avec les copains, on sait qu'on va y arriver. La solidarité dans le groupe autorise chacun à dire " allez les gars, si ça ne marche pas, on est là ! ". Et à se remettre en question, afin de trouver des solutions ensemble. Parce que chacun sait qu'il travaille pour plus grand que soi : l'équipe. 

2.   Causerie d'avant match.

C'est une spécificité du rugby, de forte tradition orale, Quelques minutes avant le match, le coach est dans les vestiaires pour rappeler à chacun des joueurs l'importance qu'ils ont, ce qu'il attend d'eux.. Durant 10 à 15 minutes il ne parle jamais par la négative (" ne recule pas ", " ne fais pas ceci "), ce qui entrave l'action.
 il parle en positif, " va vers le joueur ", " décale toi ". Et il raconte une histoire à l'équipe, dit en quoi chacun contribue au succès général. Avant de lancer un projet, un manager peut lui aussi raconter l'histoire d'un succès ou d'un flop, avec les émotions qu'il a vécues pour inspirer les collaborateurs, leur permettre de s'identifier.

3.   Passe au coéquipier.

Il y a différentes façons de passer la balle. Soit on s'en débarrasse, soit on l'offre au voisin. Dans le premier cas, l'autre la reçoit avec inquiétude, ses muscles se contractent. Dans le second cas, la balle est envoyée dans le prolongement des doigts et l'autre la reçoit naturellement.
 C'est identique quand un manager donne une délégation. Soit il délègue l'exécution de tâches sans les responsabilités, soit il délègue des objectifs et demande à l'autre comment il voit les choses. Le résultat sera bien plus efficace. 

4.   Respect de l'adversaire.
Le respect est une règle absolue du rugby. Les arbitres ne sont jamais contestés, ni hués, l'entraineur est écouté. Et à la fin de chaque match, les vainqueurs font une haie d'honneur aux perdants et les applaudissent, et réciproquement.

 Au bureau aussi on peut dire " bonne chance ", ou " bien joué " à un compétiteur sur un contrat, ou un job. Et lorsqu'un manager recadre un collaborateur, il peut mais dire " oui " à l'homme mais " non " à l'écart. 

Carole Ruvira


jeudi 18 septembre 2014

Langage Proactif Langage Réactif

Nos attitudes et nos comportements découlant de nos paradigmes. Il nous possible d’en prendre conscience.
Nos paroles constituent d’excellents indicateurs de notre degré de proactivité.


LANGAGE REACTIF                        LANGAGE PROACTIF

1. Je n’y peux rien                           Examinons les différents solutions

2. Je suis comme je suis.                 Je peux aborder le problème de manière différente

3. Ca me rend malade                     Je contrôle mes sentiments

4. Ils ne le permettront pas.           Je peux élaborer une présentation à mon avantage

5. Je suis obligé de la faire            Je choisirai une réponse appropriée

6. Je ne peux pas                            Je choisis

7. Je dois                                        Je préfère

8. Si seulement                              Je ferai cela

Le langage des « réactifs «  dénote qu’ils se dérobent à leurs responsabilités. Si j ne me sens pas responsable, je ne suis pas en mesure de choisir ma réponse.

Les proactifs se concentrent sur les possibilités qui ont autour d’eux et change la nature de leur résultat.

Nous sommes responsable de notre constructivité, de notre bonheur.

Carole Ruvira